Toujours en débris, ce ne sont que morceaux de palettes aux clous rouillés : Merak, Dubhe, Phecda, etc.
L’un est debout et l’autre se relève. Parfois c’est une cartouche de gaz. La mer s’agite et mousse avec le plancton. Sous le ciel qui n’a pleurs qu’à verse, un cétacé aventureux traverse où, par le roc, l’estran est arrêté. Là-haut, est-ce Ault ? Lui marche en cercles ; elle lance les galets plats et ronds que ses talons ont délogés. « Les huiles vont crever, c’est la marée qui monte… — C’est entendu Alex, pressons ! » Les laisses qu’ils se remirent à collecter : de la drisse, plus rarement du bois.