En plus que d’être un prédateur avisé, avec une pupille en W le mollusque est géomètre et les contours sont toute sa vision. À l’instar d’un cadre lumineux contrôlé par la peau, avec ses deux fovéas, la seiche est toujours un animal axé. (L’algèbre de la langue en est au moins là !) Céphalopode, il paraît… Par le jet dont la fonction est de produire un écran entre soi et autrui, son complexe est celui d’un écrivain. Mais au fond, c’est-à-dire « en réalité », n’est-il pas également – si ce n’est avant tout – éclairé par un œil noethérien qui se déplace dans des espaces fonctionnels usuels ?