Forme 29 – Prochaine attrition de l’écume

Le dicton dit : « les belles femmes ont toujours de beaux parapluies » et la planète bleue ne fait pas exception ! Hélas, la nuit, l’or noir est invisible et la Lune un mât singulier : sur l’estran, elle ouvre et referme – arrachant à ses pleurs la transcendance du ciment – son parapluie. Par ce mouvement des marées, la catastrophe industrielle est écrite à la craie dans un ciel de nylon, qui trace un cercle avec pour nom la Terre. Une baleine s’est arrachée et le vent claque dans la toile. (Une articulation de plus brisée dans le dispositif d’acier renforcé, de fibre de verre ou de carbone…)

IMG_1_5700 IMG_2_5658 IMG_3_5759 IMG_4_5804 IMG_5_5716 IMG_6_5868 IMG_7_5643 IMG_8_5801 IMG_9_5684 IMG_10_5693 IMG_11_5882 IMG_12_5822


Une réflexion sur « Forme 29 – Prochaine attrition de l’écume »

  1. Aux mille mers j’ai navigué, oh ! mes boués !
         Ouh ! là, ouh ! là, là, là !
    Pique la baleine, joli baleinier,
         Pique la baleine, je veux naviguer.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *