Estran de Panurge avec d’autres produits du terroir apparemment, mais peu docile à se laisser tondre ainsi que cette plante qui se pare de fleurs groupées en capitules d’un beau jaune en été, un dimanche de Pâques comme si c’était ce matin, il me souvient des oreilles de cochon à l’étal de l’un des poissonniers de la baie de Somme ; de lui en acheter, mais pas assez. Parce qu’ici c’est le domaine de la multitude des vagues qui produit des embruns qui n’ont d’avenir que la feuille charnue d’un beau vert juvénile à nervure centrale, ou la râpeuse langue du mouton qui les mange…